top of page

À propos

Spécialités

 

Sophrologie

Relaxation individuelle 

Relaxation de groupe

Qu'est ce que la sophrologie ?
​

lorsque le Dr Alfonso Caycedo fonde cette méthode en 1960, il part du postulat suivant : si nous sommes capables de somatiser le négatif (palpitations, toux psychogène, douleurs intestinales …), pourquoi n'en serait-il pas de même pour la somatisation du positif ?

​

La sophrologie n'est ni une secte, ni une thérapie , ni une analyse , ni de la parapsychologie, ni de l' hypnose , ni du yoga , ni une religion, ni une croyance, ni une philosophie, ni une simple technique de relaxation . Le terme de sophrologie vient du grec sos (équilibre), phren (conscience) et logos (étude). Le Dr Natalia Caycedo, médecin psychiatre, fille du fondateur de la sophrologie caycédienne (le psychiatre espagnol Alfonso Caycedo), en donne la définition suivante : " C'est un entraînement psycho-physique de la conscience, basé sur la perception positive de notre monde intérieur ainsi que sur notre la relation positive avec le monde extérieur ". Son fondateur s'est néanmoins beaucoup inspiré de ses voyages en Orient (yoga, bouddhisme, zen) pour mettre au point ses diverses méthodes de sophrologie.

​

Si vous attendez de la sophrologie qu'elle améliore votre qualité de vie sans vous y consacrer pleinement, passez votre chemin. Car il faut un minimum d'engagement pour mener à bien cette méthode de conscience de soi incompatible avec la notion de passivité. Inutile donc de se rendre à ses séances ponctuellement en espérant en ressortir transformé, si c'est pour continuer à fulminer dans les embouteillages ou les files d'attente, pester contre la pluie ou le retard de votre train etc. La sophrologie devient petit à petit un mode de vie qui privilégie le positif. Il faut donc un minimum de bonne volonté et d'enthousiasme lorsqu'on décide de solliciter un sophrologue, mais même les grands sceptiques seront surpris. Car si la sophrologie fait rarement des miracles au bout de la première séance, elle apporte très rapidement un bien-être et des résultats que les plus dubitatifs sauront apprécier.

​

Le sophrologue est-il un thérapeute ?

Non, même si une majorité de sophrologues formés à la sophrologie caycédienne sont effectivement issus du milieu paramédical (orthophonistes, kinésithérapeutes, infirmiers…), aucune formation médicale, paramédicale, psychologique, psychiatrique ou psychanalytique n'est requise pour se former à la sophrologie. Un sophrologue reste avant tout un "égal" de celui qui fait appel à lui, un interlocuteur, un "guide" en quelque sorte et non un interprète, un analyste ou un médecin. En sophrologie, on ne parle d'ailleurs pas de "patient" mais de "client". On qualifie la relation entre le sophrologue et son client "d'alliance phronique".

​

La sophrologie nécessite-t-elle une ambiance mystique ?

Non. Nul besoin d'être allongé sur un divan, plongé dans l'obscurité et de faire brûler de l'encens pour pratiquer la sophrologie : il suffit juste d'être en tenue confortable (pas d'élastique ou de ceinture trop serrée sur le ventre, pas de pull ou de pantalon trop étroit…). Certains exercices se déroulent en position assise, d'autres debout. L'environnement doit bien sûr être agréable mais la sophrologie enseigne surtout à composer avec les conditions qui nous entourent (marteau-piqueur, cris d'enfants...) puisqu'elle doit pouvoir être pratiquée au quotidien et s'adapter à l'environnement du moment. D'ailleurs, si un sophrologue vous présente tout un rituel chamanique comme nécessaire à la pratique de la sophrologie (parfum, musique…), fuyez : c'est très certainement un charlatan.

​

La pratique de la sophrologie comporte-t-elle certaines contre-indications médicales ?

Non. Petit ou grand, sportif de haut niveau ou chef d'entreprise, enseignant ou étudiant, paraplégique ou valide, dépressif ou cancéreux… chacun peut tirer de multiples bénéfices de la pratique de la sophrologie. Cet entraînement personnel s'adresse à " toute personne souhaitant mieux se connaitre et développer une conscience sereine et positive ". 

​

D'après Anne-Flore Gaspar-Lolliot

bottom of page